Nuances sur fond de vie
J'essaie. J'échoue.
C'était juste un mois. Et là presque un an.
C'est comme un poids. Et je descends.
Souvent j'accepte. Parfois le flou.
L'homme peut destabiliser.
Il peut faire passer du rire aux larmes.
Il en est de même pour une femme
Mais elle le fait pour aimer et non apprivoiser.
Certains hommes veulent se sentir appréciés,
Choix pathétique d'un manque d'assurance refoulé.
Il leur faut séduire un nombre de femmes incalculé,
Quand elles, elles ne désirent que l'Homme qui les estimerait.
Par-ci par-là des nuances
Mais l'inquiétant constat toujours demeure,
Parfois lors de mes absences
Je sens sa peau, ses lèvres et son odeur.
Délicatement à l'encre de Chine,
Il a calligraphié mon coeur
Et c'est de ses doigts qu'il dessine
Le mot FIN sur ma Douleur.
J'essaie. J'échoue.
C'était juste un mois. Et là presque un an.
C'est comme un poids. Et je descends.
Souvent j'accepte. Parfois le flou.
...
L'homme livre et délivre des peines
C'est pourquoi on l'aime autant qu'on le hait.
Nous saurons à vie leur pardonner les souffrances causées
Alors qu'eux, changeront leur tristesse en haine.
Certains hommes s'enlisent dans leurs mensonges.
Ils s'empêtrent maladroitement de mille cachoteries
Que notre patience dévoile et que décèle notre esprit.
Leur indifférence s'oppose alors au mal qui nous rongent.
Par-ci par-là des nuances
Mais l'inquiétant constat toujours demeure,
Parfois lors de mes absences
Je sens sa peau, ses lèvres et son odeur.
Délicatement à l'encre de Chine,
Il a calligraphié mon coeur
Et c'est de ses doigts qu'il dessine
Le mot FIN sur ma Douleur.
J'essaie. J'échoue.
C'était juste un mois. Et là presque un an.
C'est comme un poids. Et je descends.
Souvent j'accepte. Parfois le flou.